Les hot dogs, je n'en ai pas mangé depuis l'enfance quand ma maman nous en faisait lors des repas du dimanche soir (repas festif en alternance avec les crêpes, les croque-monsieur...). Mais j'en ai un souvenir délicieux. Aimant beaucoup le ketchup et la moutarde, j'avais du mal à faire mon choix pour l'assaisonnement et souvent je mélangeais les deux !!

Voici donc de petites bouchées qui me rappellent les saveurs de l'enfance et qui sont parfaites pour l'apéro !

J'ai mis de la moutarde dans l'appareil et j'ai tartiné le pain de ketchup mais vous pouvez faire tout moutarde ou tout ketchup...

Pour 18 tatins :

4 tranches de pain de mie complet

1 cs de ketchup Amora

2 saucisses de Toulouse

2 grosses cs de fromage blanc 

2 oeufs

1 à 2 cc de moutarde Amora (selon le goût de chacun)

sel

Cuire les saucisses dans de l'eau bouillante. Égoutter et laisser refroidir.

Fouetter le fromage blanc, les oeufs et la moutarde. Saler.

Couper des cercles dans le pain de la taille des moules à mini-muffins.
Tartiner les cercles de pain de ketchup.

Couper la saucisse en tranches d'1,5cm.

Déposer une rondelle de saucisse au fond de chaque empreinte à mini-muffins.

Recouvrir de l'appareil à la moutarde au 3/4.

Recouvrir d'une rondelle de pain, côté tartiné de ketchup vers l'intérieur.

Cuire 15 min à 180°.

Servir tiède avec du ketchup ou de la moutarde au choix !

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Voici des rouleaux de printemps avec des saveurs qui sont tout sauf asiatiques. En fait, ce sont des rouleaux de printemps, simplement parce que j'ai utilisé  des feuilles de riz. Pour la garniture, je suis allée piocher dans des saveurs que j'aime beaucoup : basilic, légumes du soleil, pignons... Un petit délice bien frais, à la fois moelleux avec le Philadelphia et croquant avec les pignons... Pour les légumes, j'ai utilisé un pot de légumes du soleil Le temps des mets, mais rien ne vous empêche d'utiliser des légumes frais. Dans ce cas-là, il faudra griller les aubergines et les poivrons au four...

Pour 10 rouleaux :

10 feuilles de riz

200 g de Philadelphia (ou autre fromage à tartiner)

2 cs de fromage blanc

2 cc d'arôme basilic Neroliane (ou basilic frais ou surgelé)

1 gros blanc de poulet rôti

1 pot de légumes du soleil (aubergines poivrons verts et rouges Le temps des mets)

1 poignée de pignons grillés

sel et poivre

Hacher grossièrement le blanc de poulet.

Écraser le Philadelphia et l'assouplir avec le fromage blanc.

Incorporer le basilic, les pignons. Saler légèrement et poivrer.

Remplir une sauteuse d'eau. Tremper 15s un feuille de riz et la déposer sur un torchon propre.

Au milieu, mettre quelques légumes du soleil, recouvrir de la préparation au Philadelphia puis de poulet rôti.

Rouler l'ensemble bien serré.
Faire de même avec les autres feuilles de riz.
Réserver au frais 2h puis déguster !

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La semaine dernière, je suis allée dans le Sud-ouest avec les autres gagnants du concours Roquefort Papillon pour découvrir la façon dont sont confectionnés les produits de la marque. Je ne connaissais que le Roquefort Papillon mais j'ai découvert que cette petite entreprise familliale faisait aussi de l'huile d'olive et d'autres fromages de brebis.

J'ai donc décollé de Paris à 6h50 le samedi en compagnie de Philou, Sandrine, Damien et Isabelle direction Toulouse.

Dans l'avion, j'ai fait la connaissance de Marie-Laure.

Arrivés à Toulouse, nous avons été accueillis par Marion et Nelly. Après une petite pause et l'arrivée de Garance,  nous avons rejoint le reste du groupe : Mamina, Anne et Monique que je connaissais mais aussi Christelle, Sandrine et Laetitia.

Le groupe au complet

Nous avons fait route dans deux trafics pour Perpignan. Les bourrasques de vent ont rendu  malades quelques-unes d'entre nous...

Bien entendu, nous avons papoté et bien rigolé pendant tout le trajet avec notre clown attitré Chef Damien et ses poches à douille...

Arrivés à Perpignan, nous avons fait une pause au Novotel, à côté de l'oliveraie Papillon, pour faire un repas constitué de délicieuses préparations apportées par les blogueurs et par les propriétaires de Papillon, la famille Farines qui est venue au grand complet (3 générations!!) nous rencontrer.

Après ce repas, Amine nous a expliqué comment était faite l'huile d'olive, de l'arrivée des olives jusqu'à l'embouteillage.

Après une petite dégustation (nous n'avions pas vraiment faim !!), nous sommes allés dans l'oliveraie où les arbres étaient en fleurs. Le lieu était superbe !

Cette fois-ci, c'est Walter et son fils qui nous ont fait découvrir le lieu.

Puis ce fut le grand départ pour Tarn-sur-Rome, près de Roquefort où nous allions passer la nuit. 2h30 encore de grandes discussions !

Arrivés à 20h30 dans un hôtel charmant de ce village tout aussi charmant, nous n'avions qu'une envie : prendre une douche ! Après cette petite pause relaxante, nous avons mangé au restaurant de l'hôtel puis nous n'avons pas fait long feu !!

Le dimanche, rendez-vous à 7h30 pour un petit déj pantagruélique : charcuterie et fromage (pour mon plus grand bonheur !), croissants, yaourts, fruits, fouace...

Direction ensuite pour une ferme où que l'éleveur nous a expliqué comment se fait la traite des brebis et quelles sont les contraintes dues à l'AOC du Roquefort. L'éleveur était passionnant et passionné !

Nous avons tous mitraillé (ça a été le cas pendant tout le week-end d'ailleurs !) : un blogueur sans son appareil photo est un peu grégaire quand même (private joke aux participants!!)

Et comme notre estomac criait famine , nous avons eu droit à une dégustation de lait de brebis, de caillé, de Roquefort et de flaune (grande découverte pour moi que je referai très vite !)

Après avoir goûté à toutes ces bonnes choses, nous sommes allés visiter les caves Papillon. Et, exceptionnellement, nous avons eu le droit de prendre des photos !

Voici donc en avant première les images...

Vous avez vu le beau dessin sur les roqueforts ?

La caractéristique du Roquefort Papillon est qu'il est fabriqué à partir de champignons que l'on trouve dans le pain de seigle (fabriqué par le boulanger de la fromagerie) qu'on laisse très longtemps dans les caves pour que le champignon se développe.

Farid, notre guide, était passionnant. Il nous a même dévoilé la légende de l'apparition de ce fromage. "Il était une fois", un berger, dans sa grotte, qui vit passer une superbe bergère aveyronnaise. Il voulut la rattraper, laissant son casse-croûte (du caillé et du pain de seigle) dans la grotte. Mais cette bergère allait très vite et il tenta de la rattraper pendant 65 jours. N'ayant pas réussi, il retourna à la grotte. En 65 jours, les champignons qui s'étaient développés dans le pain avaient créé des moisissures dans le fromage. Mais il était affamé et il mangea donc le fromage : le Roquefort était né !

Après cette visite très intéressante, nous avons mangé dans les locaux de Papillon : nous avons pu goûter à tous les fromages qu'ils fabriquent et à une délicieuse charcuterie.

Merci beaucoup à toute l'équipe de Roquefort Papillonet en particulier à Nelly, "mon" chauffeur, grâce à qui je n'ai pas été malade durant le trajet, alors que j'ai le mal des transports... Par contre, dans l'avion, ce fut une autre affaire ...

Pour finir, voici la recette grâce à laquelle j'ai fait ce voyage...

Je fais partie des finalistes avec ma maman au Challenge Comté (c'est sa 1ère participation parce que je l'ai poussée :-). Alors merci de voter pour ma Verrine printanière au comté en 3 texture et pour la Tarte provençale de ma maman (elles sont sur la dernière ligne et l'avant dernière ligne) : c'est ici : vous pouvez voter une fois par jour !

Ma famille paternelle est juive tunisienne. Bien qu'elle soit non croyante et non pratiquante, c'est une tradition de faire le msoki, au moment de Pessah.Ce plat est un de mes plats préférés.

Comme vous le savez, j'adore les légumes ; alors, là, c'est le kiffe total ! En plus, c'est bien frais avec le persil et la menthe ajoutés en fin de cuisson et c'est léger car avec peu de matière grasse. Les miettes de pain azyme sont là pour lier le tout.

Mes grands-parents étant âgés, il leur est difficile de passer du temps assis  à éplucher et couper tous ces légumes. Ils m'ont donc proposé de m'apprendre à faire ce plat et de devenir ainsi la détentrice de la recette. Comme vous l'imaginez, j'ai accepté avec joie !

J'ai donc appris à préparer le msoki chez eux et j'ai été enthousiasmée en découvrant la  facilité de cette recette. Deux jours plus tard, jour de marché, j'ai tout acheté pour le refaire chez moi !!

Cependant, 2 légumes manquent à l'appel ici faute d'en avoir trouvé : du cardon et du cardon sauvage.

J'ai servi le plat avec des boulettes en m'inspirant de celles que fait ma grand-mère (elle ne m'a pas encore donné sa recette !) : boeuf, épinard, riz, herbes. Enfin, je l'ai mangé avec les légumes au vinaigre, comme le fait mon grand-père.

2 oignons

4 gousses d'ail

4 carottes

3 pommes de terre

3 navets

1 coeur de chou frisé

700 g d'épinards

300 g de petits-pois écossés

300 g de fèves écossées

2 pieds de brocolis (garder les fleurs pour les légumes au vinaigre)

1 courgette

1 bulbe de fenouil

4 poireaux

1 chou rave

3 branches de céleri avec feuilles

5 petits artichauts violets

1 bouquet de persil plat

1 bouquet de menthe

1 cc de  4 épices

1/2 cc de muscade

1 bâton de cannelle

sel, poivre

200 g de pain azyme

Laver et éplucher si nécessaire tous les légumes.

Hacher ail, oignons et, grossièrement, les épinards. Couper les poireaux en rondelles et le reste des légumes en cubes (sauf petits pois et fèves !)

Parer les artichauts pour en obtenir le coeur et les plonger dans de  l'eau citronnée.
Dans 2 cs d'huile, faire revenir l'oignon puis l'ail. Ajouter navets, carottes, chou rave. Laisser cuire 10 min en remuant régulièrement.

Ajouter tous les autres légumes, recouvrir d'eau presque à hauteur.

Incorporer les épices, saler généreusement et poivrer.

Laisser mijoter 2h avec le couvercle sur la moitié de la casserole.

Ajouter fèves, petits pois et herbes ciselées. Poursuivre la cuisson 30 min.

Ecraser grossièrement le pain azyme, l'ajouter et poursuivre la cuisson 15 min.

Couvrir et laisser les galettes gonfler avant de servir.

Déguster chaud avec un peu d'harissa pour les amateurs, les boulettes (facultatif) et les légumes au vinaigre.

Je fais partie des finalistes avec ma maman au Challenge Comté (c'est sa 1ère participation parce que je l'ai poussée :-). Alors merci de voter pour ma Verrine printanière au comté en 3 texture et pour la Tarte provençale de ma maman (elles sont sur la dernière ligne et l'avant dernière ligne) : c'est ici : vous pouvez voter une fois par jour ! 

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La viande crue, j'ai toujours aimé. Petite, lorsque l'on mangeait une fondue bourguignonne, je préférais manger la viande crue plutôt que de la cuire dans l'huile ! Cependant, il est rare que je prenne un tartare au restaurant, toujours tentée par des plats qui sont plus originaux et que je sais ne pas pouvoir faire chez moi. Je me disais que le tartare était réalisable à la maison. Or, je n'en avais jamais fait. Je me suis donc lancée mais en coupant moi-même ma viande au couteau pour avoir de la "mâche".

Je l'ai servi avec des frites légères réalisées avec l'Airfryer que j'ai reçu à Noël :-) Je les ai juste parfumées avec du paprika et du curry...

250 g de filet de boeuf
1 cc de câpres

4 petits cornichons
1 échalote
1 grosse cc de moutarde de Dijon
1 cc de ketchup
1 cc d'huile d'olive extra-vierge
1/2 cc de sauce Worcestershire
quelques gouttes de tabasco
Sel et poivre au moulin

Hacher finement l'échalote et les cornichons.

Mélanger tous les ingrédients sauf la viande.
Hacher le filet de boeuf avec un couteau bien affûté : faire de belles tranches fines, puis des lanières qu'on taille en petits dès.
Mélanger la viande avec la sauce.
Dresser le tartare dans des assiettes individuelles à l'aide d'un emporte-pièce rond. 

Je fais partie des finalistes avec ma maman au Challenge Comté (c'est sa 1ère participation parce que je l'ai poussée :-). Alors merci de voter pour ma Verrine printanière au comté en 3 texture et pour la Tarte provençale de ma maman (elles sont sur la dernière ligne et l'avant dernière ligne) : c'est ici : vous pouvez voter une fois par jour ! 

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